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Archives pour octobre 2012

« Je suis un stéréotype et j’en suis fière ! » sic

Argh….. Je n’étais pas prête…

Cela m’est tombé dessus sans sommations, par surprise et je suis en état de choc !

Le mot « traumatisme » n’est pas de trop… surtout que je ne m’y attendais pas, tranquillement installée dans ma baignoire d’eau douce et tiède, entre la mousse et l’éponge naturelle moelleuse…

J’avais bêtement projeté de regarder tranquillement un magazine féminin (celui qui commence par un B et finit par un A… non pas Babar, ça finit par un R… suivez un peu…).

Je ne pensais pas tomber sur Bécassine… en pire…

Il y avait un gros titre sur la couverture, je cite « Quel Plaisir d’être moi » (bon, ça c’est un peu con, et j’aurais pu me méfier mais je suis d’un naturel confiant et j’ai zappé) « Comment s’aimer et s’assumer (pour profiter à fond de la vie »

C’est tentant, non ?

Alors, j’ai acheté le dit magazine, sans vérifier le contenu puisqu’il était sous blister (à cause d’une pub sans intérêt sur une collection de petites culottes in-métables, tout juste bonnes à favoriser les fantasmes de ces messieurs qui aiment les arracher avec les dents… bref…)

Donc, dans mon bain, j’ouvre le magazine et je cherchotte l’article en question en passant par des chaussures échasses (bris de cheville assuré), des sacs hors de prix, des pubs, des fringues à la limite du vulgaire et du n’importe quoi avec des mannequins qui s’emmerdent devant l’objectif et le font savoir comme si c’était un must (sourire ? ah, non, quelle horreur !) des pubs, des pubs et des billets d’humeur même pas drôles à force d’être poncifs, des pubs, des articles sexe que ma grand mère aurait pu lire (et c’était pas une rigolotte) et des pubs.

Bon, je finis par trouver.

Et là, je découvre un tas de conneries qui me font regretter d’être du même sexe que celles qui écrivent ça ! (ah, d’ailleurs il y a un auteur qui est un mec… ca me rassure.)

C’est : « Je suis un stéréotype et j’en suis fière ! »

Revue de détail:

L’intro, passe encore. c’est assez rigolo, même si cela ne vole pas super haut.

Mais la suite est effarante de vide intellectuel. A lire ça, on se dit que oui, les femmes sont des êtres décérébrés tout juste bonnes à regarder des images et des sit com pas trop complexes à la télé…

C’est une suite de soi disant raisons de s’aimer, avec une « preuve » irréfutable donnée par une « experte » femme, madame tout le monde (soit Micky, Leila, Réjane, Viviane etc.) Moyenne d’âge 30 ans (en réalité, 10, mais bon.)

Exemple: « Parce que je suis super autonome » (oui, bon, pas faux…) « La preuve: » Là on s’attend à un truc scotchant qui vous mobilise pour laisser tomber cette foutue dépendance qui vous bouffe la vie depuis votre naissance… et ben non. « La preuve par Micky, 31 ans: j’ai réussi ce qu’il y avait de plus important: je suis autonome » Ah. C’est ça la preuve ? Mais c’est nul, ça n’apporte rien !

Autre exemple: « Parce qu’on est souple » Ah bon. Je ne vois pas trop le rapport avec l’estime de soi, surtout que la preuve de Sylvie, 24 ans, c’est qu’elle sait faire le grand écart alors qu’elle n’est même pas danseuse… Mais je m’en tape !

Dernier exemple (parce que c’est trop dur d’écrire ces inepties, et les pages en sont pleines, il y  en a 22 , et les encadrés, c’est pas mieux (genre que c’est drôle de mettre du vernis à ongles sur le canapé, ah ah, quel bonheur d’être une vraie fifille…)) « Parce qu’on est la reine des tartes » (des tarées, oui) et Lola, 32 ans nous décrit ses merveilles pâtissières…

Donc, s’aimer, c’est correspondre parfaitement au stéréotype de la nunuche un peu (beaucoup ) conne, bonne ménagère et fan de fringues (mais pas trop), qui se définit par son apparence (mais qui s’accepte « telle qu’elle est ») et son relationnel (elle a un mec qui l’adoooore forcément, même si elle a eu des déceptions qu’elle a supporté avec courraaage), brave fille en somme mais il faut lui parler lentement et d’une manière simple sinon, elle décroche…

ben vi…

S’aimer c’est ne pas viser trop haut et se contenter ce sa médiocre petite personne…

Beurk……

 

Deux américaines à Paris

Rencontre parisienne dans un café tout près de la Madeleine, beau comme un Paris de carte postale fait tout exprès pour les touristes ! Le sol blanc et noir, les tables « vintage » et des chaises qui semblent avoir vu les fesses de Sartre, Boris Vian et Juliette Greco, voire Hemingway…

Deux américaines étudient la carte de Paris, un verre de vin blanc à portée de main. La soixantaine active et le plaisir de vivre dans un Carpe Diem efficace et joyeux. Deux amies en goguette en France, libres et sympathiques.

Je sors de l’exposition de la pinacothèque. Le délire génial de Vincent Van Gogh et la sérénité moqueuse d’Hiroshige. Je dessine sur mon carnet. Les fabricants de cartes postales ne choisissent jamais les oeuvres que je préfère… J’ai crayonné le dessin… je le mets en couleur, maintenant, devant cette table brune sur laquelle s’étalent mes crayons de couleur, ma tasse de café, mon téléphone…

Les deux femmes ont fini leur vin, elles me remarquent et la conversation s’engage… Voyage immobile de la langue étrangère, rencontre humaine et charmante, échange.

Je leur souhaite un merveilleux séjour…

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D'après Hiroshige. Le temple de l'amour.

Sacrée solitude

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jardin Khan

Parfois, je rêve de me retrouver seule, dans un ermitage, en haut d’une montagne ou face à l’océan, avec pour simple compagnonnage de quoi écrire … et de quoi me nourrir (faut pas déconner, quand même hein !). Une bouteille de bon vin ne serait pas non plus de refus…

Le silence qui est le calme;

La musique qui est celle de l’oiseau;

La parole qui est la mienne pour peu à peu la laisser s’éteindre au profit de l’écoute douce de mon corps.

Découvrir, loin du tumulte des revendications modernistes des hommes, qui je suis. Sentir qui je suis. Percevoir, enfin qui je suis.

Recevoir le cadeau d’être de mes propres mains, et surtout de personne d’autre.

Loin des iphone, des bipbip agaçants qui vous rappellent à l’ordre, des ordinateurs qui vous submergent d’informations venues des quatre coins du monde, des obligations, des devoirs, des il-faut-que, des vite, vite… Tous ces parasites qui couvrent la vraie musique de la vie en nous. Tous ces robots performants qui nous permettent de nous cacher et de ne pas nous voir… de revêtir l’armure du rôle social qui nous pose dans le monde.

Ne pas nous voir…

Et ne pas voir l’autre. Tel qu’il est, pas tel qu’il apparaît.

Oui, dans mon appartement parisien, dans cette ville vibrante que j’adore, j’ai envie de la paix sereine du silence, du vide, de la solitude.

Et en même temps, j’en ai une peur terrible. Panique.

Peur qui me pousse à chercher à remplir ce vide par n’importe quoi. Pour l’oublier, le refouler.

Etre face à soi même, nue, sans le paravent des histoires que l’on se raconte pour se rassurer (j’ai pas de chance, c’est sa faute, il ne m’aime pas, il devrait faire ci ou ça, il (elle) me doit bien ça…), devant le miroir magique de la vérité, c’est renoncer à un idéal de soi rassurant, connu mais qu’on ne voit pas dans la réalité simple (et étrange) de ce qui apparaît à nos yeux. C’est renoncer à lette image d’Epinal qui nous trahit car elle n’est pas nous, mais à laquelle on tient car on a appris à nous définir en fonction d’elle…

Depuis bien longtemps, pour être aimée par les autres, à la suite de notre dépendance obligée de l’enfance, nous avons revêtu ce masque protecteur. Renoncé à nous-mêmes pour être ce que les autres veulent que l’on soit, pour être ce que nous pensons que les autres veulent que l’on soit.

Triste mascarade qui finit mal.

Dans l’incompréhension, le malaise et le quiproquo.

Incompréhension des êtres qui se cachent les uns des autres et ne peuvent se découvrir dans leur vérité.

Malaise d’être à côté de nos pompes et de s’être perdu de vue, de vie… prisonnier d’un personnage qui n’est pas nous.

Quiproquo des rapports humains faussés où nous reprochons aux autres de ne pas nous donner cet amour pour lequel on a renoncé à nous mêmes.

Me retrouver. M’aimer. Etre. En fonction de moi. En fonction de personne d’autre. Pour ne devoir mon sourire qu’à moi même, et pouvoir le donner gratuitement à celui qui saura m’aimer.

On ne peut aimer vraiment que lorsque l’on s’aime soi même. C’est comme une lapalissade… Et pourtant… on a bien du mal à découvrir le mode d’emploi de l’amour de soi. On n’ose pas, on se l’interdit comme un coupable égoïsme.

Ne pas s’aimer oblige à demander à l’autre de le faire pour nous. Et cela devient une triste tractation commerciale qui finit en récriminations frustrées, puisqu’on demande à l’autre ce qu’il ne peut donner (sinon à lui même) et que l’on se refuse.

Aimer cette femme que je suis. Avec tous ses défauts et ses quelques qualités.

Et rire parce que telle que je suis, je suis bien… n’en déplaise à quelques grincheux…

Des vertus thérapeutiques du ménage…

C’est la crise…

Comme tout le monde, je traverse une splendide traversée du désert financier, et une plongée abyssale dans les emmerdes de tous poils.

Moments difficiles, angoisses du « je-n’arriverai-jamais-à-m’en-sortir », perte de confiance tous azimuts, tensions et blocages en tous genre…

Comme les champignons (vénéneux), les problèmes ont tendances à éclore tous en même temps et se bousculent au portillon pour nous achever… « Eh, pousse toi de là, le débit à la banque, laisse moi en un peu ! » dit la déception amoureuse !

Et il ne nous reste que les yeux pour pleurer dans le grand espace intergalactique de nos nuits blanches…

Donc, moi aussi, je donne dans les situations « délicates »…

Donc, ce matin, j’ai décidé de prendre les choses en main et de faire le ménage dans ma maison qui ne ressemblait plus à rien, avec les traces, dans toutes les pièces abandonnées à elles-mêmes, des incertitudes et des laissez-allers coupables de ma mini dépression… « Bof, à quoi bon ranger! De toute façon, un peu plus ou un peu moins dans la merde … Allez, passe le Nutella… »

Armée de mon aspirateur, de mon balai marin (le machin avec des cheveux longs qui sert à laver le sol en carrelage (note pour les mecs et celles qui n’y connaissent pas grand chose dans la théorie ménagère, dont moi), et mon chiffon (doux avec vos mains et dur avec la poussière (à moins que ce soit le produit vaisselle qui dit ça ?….) j’ai entrepris le grand ménage de ma maison et accessoirement de ma tête.

Sus aux toiles d’araignées coupables, aux poussières confusionnelles, aux chaussettes et dossiers dépareillés, au désordre généralisé…

Et ben, ça fait du bien.

D’abord, l’effort physique vaut bien un court de Pilate (à condition de bien vous étirer quand vous passez le plumeau) et nous fait produire des endorphines super efficaces. Et puis on range aussi les priorités, les échelles de valeurs, les trucs et les machins qui trainent dans notre tête et qui brouille tout.

Enfin, on jette…

…Les épluchures, les vieux vêtements dans lesquels on ne rentre plus, les pulls troués (ben oui, on est bien dedans mais on a l’air d’une SDF), la robe qui boudine (sublime sur une autre, atroce sur soi), les sacs-qui-pourraient-servir-un-jour et qui ne servent qu’à prendre un max de place et j’en passe (la culotte de 20 ans qui n’a plus d’élastique, grisâtre et avec des trous qu’on se refuse à mettre même quand on a ses règles mais qu’on garde sans savoir pourquoi…). Et par la même occasion, on se libère de la relation tordue avec tel pote, de la soumission à telle amie pas forcément bienveillante, de la dépendance obligée à papa-maman, de la peur du banquier et de la mésestime de soi…).

Et pis, avec ma fille, on s’est fait un soin des cheveux… en prime…

Et ben, ça va beaucoup mieux, ma dépression.

Je ne la retrouve plus… elle a du passer à la poubelle…

Ne prenez plus d’antidépresseurs… faites le ménage !

L’histoire de Toto de ma fille (Freud revisité)

« C’est la maman de Toto qui lui demande d’aller acheter une saucissse » (envie de pénis de la femme)

« Alors, Toto va à la charcuterie mais elle est fermée. » (complexe d’oedipe : Toto veut satisfaire le désir de sa mère, être son phallus)

« Donc il va dans la forêt d’à côté. Oui, il y a une forêt à côté  » ( heu, ça doit être lacanien, trop complexe pour moi… forêt, métaphore du père ????)

« Et donc il revient chez lui avec une saucisse. Sa mère la mange et dit que c’est très bon. » (mère castratrice qui dévore le phallus de son fils)

« A ce moment là, la sonnette retentit et un gorille est sur le seuil. Il demande: « rends moi ma zézette. » (interprétation libre et flottante… le nom-du-père ?)

Voilà….

Finalement, c’est pas si drôle que ça…. pour le gorille ….

La mondialisation

Bon, alors, je m’attaque à un gros poisson, un dogme…

Mais… si l’on considère que l’on doit juger l’arbre à ses fruits, si l’on considère que ces fruits doivent être bons pour l’humanité et non pour les lignes comptables… la mondialisation est elle une bonne chose?

A voir la crise qui s’abat sur nos têtes, quelle que soient leur couleur, à voir l’accélération de la destruction de nos ressources naturelles au nom de la croissance et du profit, à voir les « plans de restrictions » que l’on impose partout et la misère qui progresse, à voir la récession qui pointe son nez avec son cortège d’horreurs… Franchement on peut se poser des questions.

Renoncer à la mondialisation aurait certainement des conséquences économiques graves pour les grands groupes internationaux qui ont pu ainsi externaliser nombre de métier, en tayloriser d’autres, exploiter de manière plus systématique la matière et les gens…

Mais pour les gens… je crois que cela permettrait de retrouver un équilibre humain.

Oui, la mondialisation a rapporté beaucoup d’argent. Mais à ceux qui en avaient déjà.

Oui, la mondialisation va rapporter beaucoup d’argent. Mais aux mêmes… Quoique…. Il faut se méfier des pauvres…

Et les Etats, coincés dans leurs frontières, n’ont pu suivre le mouvement devenu une religion, qu’en s’endettant au bénéfice, non pas de leur population mais ce ces grands groupes. Communication, « modernisation » informatique et internet, dépenses de prestige… On retrouve tous les best of de la grande finance dans la liste de ceux qui ont présenté des factures…

Parce que… même si le budget de l’éducation et de la SS est lourd, ce ne sont pas eux qui ont subitement explosé en 88. Ils ont continué leur petit bonhomme de chemin…

C’est la crise financière qui a tout fait exploser, c’est la mondialisation qui s’est protégée. La grande peur des financiers de ne plus récupérer les dividendes de leurs prêts. Alors, on pousse les gens dans la misère, on leur prend tout l’argent qui leur reste… mais qu’importe, ils n’avaient qu’à pas élire leurs gouvernements. Ils sont coupables d’être pauvres et endettés…

Moi, je serais grecque, je crois que j’aurais très envie de les envoyer péter les suffisants de l’économie libérale et mondialisée…

Liberté

Je n’ai pas eu à lui envoyer mon article…

Il m’a appelée….
Preuve que ma tristesse vient bien de mon histoire qui m’empêche de vivre mes relations avec légèreté…
L’héritage est en effet bien lourd et me pousse à craindre de faire confiance aux hommes (ils ont tellement abîmé ma lignée maternelle!)
M’empêche d’accepter l’Autre tel qu’il est, autre, différent de moi et à lui projeter dessus des sous entendus venus du passé (« S’il fait ça, c’est qu’il pense ça », « je pense ça (genre beurkkkk) de moi donc je crois qu’il pense ça de moi » et je prends ma croyance pour vérité… qui me blesse).
Répétitions délétères…
Rompre avec ça et vivre enfin ma vie à moi… libre…

Le silence

Il ne dit rien.

Il ne communique pas.

Dans un monde où la communication tous azimut est la règle, où tout le monde est branché à un téléphone ou à une boîte mail comme à une perfusion de survie, il reste hors d’atteinte.

Son téléphone, le même modèle que tout le monde, pourtant, au scintillement si attachant et si fascinant, celui que l’on pianote en permanence, les yeux rivés sur l’écran, au mépris de ceux qui nous entourent… qui , de toute façon, font la même chose…

Son téléphone, donc, s’obstine à sonner dans le vide. Puis la voix du répondeur, le même message d’une voix inconnue, chaque fois, voix programmée et impersonnelle  qui m’enjoint de laisser un message…

Mes Sms tombent dans un grand vide. Pas de réponse. Ou si peu.

Comme si je n’avais pas d’importance.

Comme si je le dérangeais de mon affection envahissante.

Comme s’il ne voulait plus de moi et qu’il tentait de décourager ainsi, par le silence, mes tentatives vaines et maladroites d’exister pour lui.

Comme si j’essayais de lui prendre sa liberté…

Des larmes…

…Coulent doucement sur ma joue.

Tristesse d’une colère refusée, interdite.

Je pleure sur moi. Sur ma tendresse que je vois laissée pour compte… Que je crois laissée pour compte…

Sur les battements de mon coeur qui s’affole…

Pour rien… je sais bien…

Je sais qu’il est ainsi. Qu’il y a bien longtemps, sans doute, il a perdu le goût de dire, d’exprimer, de faire confiance, de s’ouvrir à l’autre, de respecter ses propres envies et ses propres besoins… pour se protéger.

Je sais que son silence n’est pas dirigé contre moi.

Mais j’ai si peur. Et lui, il a si peur.

Deux peurs face à face, pas les mêmes, mais qui dressent un mur d’incommunicabilité entre nous. Il devient impossible de se dire. On a peur de ce que l’autre va faire de notre mise à nu. Comme dans le dernier film avec Lindon, où le silence entre la mère et le fils, tue.

Alors nous nous se taisons.

Même moi, je me tais.

Je n’ose plus le rappeler, lui écrire.

Sauf ici.

Je ne crois pas que je vais avoir le courage de lui envoyer cela. Et il ne lit pas mon blog.

Enfin, je ne crois pas. Il ne me dit pas grand chose…

Et pourtant au fond de moi, je sens bien que l’amour git au fond de nous… blessé mais encore vivant !

Comme le canard de l’histoire de Robert Lamoureux… (http://www.youtube.com/watch?v=xKXTwBSAwYQ)


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